Les Tiersonnier venaient de Beauvais quand ils sont venus s’installer dans la terre de Meauce et habiter le joli château de ce nom, gaiement situé sur la rive droite de l’Allier, en face d’Apremont. Ils étaient trois frères.
Benoit, l’aîné, a épousé Mlle de Tamnay dont il eut 9 enfants, Charles, tué à Solférino, Jules, marié à Mlle de Mérac, pas d’enfants, Eloi mort général d’état major, beau-père du général d’Agon, Paul officier de cavalerie, père d’Auguste, mort glorieusement en 1917 en Alsace, de Madame Charles Tiersonnier et de Louise Chavane, deux fils Auguste et Arthur mariés à Salins, Jura avec deux sœurs Mlles Guérillot, Laurence mariée à Alfred de Marne, ingénieur en chef, père de Madame Roger de Soultrait, Blanche, épouse de Ernest Moret, officier de marine et une fille morte célibataire. Il y a près du château une très jolie chapelle où sont enterrés de nombreux membres de la famille dont mon grand’père et ma grand’mère Tiersonnier.
Le château appartient maintenant à Madame de Villefosse fille du Commandant Moret. C’est lui commandait le bateau qui a ramené les cendres de l’empereur en France.
Louis Tiersonnier est mort célibataire dans son château de Sampanges situé dans une délicieuse position près du pont canal, face au Guitin C’est son neveu Eloi qui en a hérité, et qui en a hérité., et qui l’a laissé à sa fille Madame de Cépoy. Il a été brûlé par les Boches en 1944 .
Auguste, ayant eu en dans les partages paternels la ferme de la Grâce et n’ayant pas d’habitation a fait bâtir celle qui est proche de Gimouille, de Fertotot qui appartenait à ce moment-là au Comte de Moncorps, du colombier à la Marquise de La Rochefault, maintenant à Madame de Balloy. Mon grand’père a épousé en 1825 Mlle de Noury, d’une vieille famille nivernaise qui habitait le château de Champrobert, commune de Sougy . Depuis l’an II, c’est toujours un Noury qui a été maire de cette commune jusqu’à nos jours, un communiste les a remplacé après la vente du château. Mes grands’parents ont eu 4 enfants. Noëmi, l’aînée qui épousé mon père, Anna marié à Jules du Verne, Ludovic, officier de carabiniers et en 187o, commandant de Mobiles de la Nièvre, grand éleveur qui tous les ans remportait des prix au concours des veaux Charolais reproducteurs, Caroline, entrée à la Visitation où elle est morte encore jeune.
Benoit, l’aîné, a épousé Mlle de Tamnay dont il eut 9 enfants, Charles, tué à Solférino, Jules, marié à Mlle de Mérac, pas d’enfants, Eloi mort général d’état major, beau-père du général d’Agon, Paul officier de cavalerie, père d’Auguste, mort glorieusement en 1917 en Alsace, de Madame Charles Tiersonnier et de Louise Chavane, deux fils Auguste et Arthur mariés à Salins, Jura avec deux sœurs Mlles Guérillot, Laurence mariée à Alfred de Marne, ingénieur en chef, père de Madame Roger de Soultrait, Blanche, épouse de Ernest Moret, officier de marine et une fille morte célibataire. Il y a près du château une très jolie chapelle où sont enterrés de nombreux membres de la famille dont mon grand’père et ma grand’mère Tiersonnier.
Le château appartient maintenant à Madame de Villefosse fille du Commandant Moret. C’est lui commandait le bateau qui a ramené les cendres de l’empereur en France.
Louis Tiersonnier est mort célibataire dans son château de Sampanges situé dans une délicieuse position près du pont canal, face au Guitin C’est son neveu Eloi qui en a hérité, et qui en a hérité., et qui l’a laissé à sa fille Madame de Cépoy. Il a été brûlé par les Boches en 1944 .
Auguste, ayant eu en dans les partages paternels la ferme de la Grâce et n’ayant pas d’habitation a fait bâtir celle qui est proche de Gimouille, de Fertotot qui appartenait à ce moment-là au Comte de Moncorps, du colombier à la Marquise de La Rochefault, maintenant à Madame de Balloy. Mon grand’père a épousé en 1825 Mlle de Noury, d’une vieille famille nivernaise qui habitait le château de Champrobert, commune de Sougy . Depuis l’an II, c’est toujours un Noury qui a été maire de cette commune jusqu’à nos jours, un communiste les a remplacé après la vente du château. Mes grands’parents ont eu 4 enfants. Noëmi, l’aînée qui épousé mon père, Anna marié à Jules du Verne, Ludovic, officier de carabiniers et en 187o, commandant de Mobiles de la Nièvre, grand éleveur qui tous les ans remportait des prix au concours des veaux Charolais reproducteurs, Caroline, entrée à la Visitation où elle est morte encore jeune.
Mon grand’père a été un peintre de talent, et pour se perfectionner, il est allé passer de longs jours à Rome pour se mettre en contact avec les grands maîtres. En France, il a aussi beaucoup travaillé et donné la plupart de ses œuvres à ses parents et amis. Dans l’atelier de Guérin où il était avec Delacroix, il a peint peut-être son meilleur tableau, qui représente le lavement des pieds : dix mendiants sont alignés devant un prélat tout de rouge habillé qui leur lave les pieds, et sur les épaules du premier mendiant Delacroix a peint son portrait, ce qui lui donne une certaine valeur.
Ce tableau est au musée de la ville de Nevers, ainsi qu’un autre représentant une Ève de grandeur naturelle couchée au milieu de fleurs au bord d’un ruisseau. Avant d’entrer au couvent, ma tante Caroline la trouvant trop nue a demandé à ses parents de ne pas la garder chez eux.
Son chef d’œuvre a été un tableau qui faisait le plus bel ornement du salon de la Grâce et qui représentait un Romain et sa femme, debout partant pour l’exil . Dans le salon de Nevers, nous avions sur la même toile le portrait de ma grand’mère et de ses deux filles aînées. Il y avait aussi le portrait d’un cardinal, qu’il avait copié dans le musée Pitti à Florence. Dans la chapelle de Sucy, on peut admirer un ange gardien qu’il a donné à Madame d’Assigny. A Arthur de Noury, j’ai donné après la mort de ma mère, les portraits de son père en chevalier de St Louis, et celui de sa mère, reproduits, m’a-t-on dit, très fidèlement par leur gendre.
Paul Tiersonnier, qui n’avait pas d’habitation, a bâti, après son mariage avec la très charmante Mlle des Ages, le château de Trémigny, tout près de Meauce. Il appartient maintenant à son petit-fils, Bernard, qui est marié et qui a une brillante situation à Bourg. Aussi il loue son habitation .
À 2oo m du château, il y a une chapelle d’un très joli style où sont enterrés dans un vaste caveau beaucoup de châtelains. Depuis les Roffignac, , j’y ai conduit ma grand’mère Tiersonnier et bien d’autres parents, le général d’Agon, le colonel Moret. La dernière bière descendue retrouver les précédents est celle de Marie de Catheu, femme du Colonel Paul Tiersonnier le 3 Juillet 1946.
Paul Tiersonnier, qui n’avait pas d’habitation, a bâti, après son mariage avec la très charmante Mlle des Ages, le château de Trémigny, tout près de Meauce. Il appartient maintenant à son petit-fils, Bernard, qui est marié et qui a une brillante situation à Bourg. Aussi il loue son habitation .
À 2oo m du château, il y a une chapelle d’un très joli style où sont enterrés dans un vaste caveau beaucoup de châtelains. Depuis les Roffignac, , j’y ai conduit ma grand’mère Tiersonnier et bien d’autres parents, le général d’Agon, le colonel Moret. La dernière bière descendue retrouver les précédents est celle de Marie de Catheu, femme du Colonel Paul Tiersonnier le 3 Juillet 1946.
4 commentaires:
il manque sont dans la phrase "quand ils venus s’installer"
C'est corrigé. Merci
Bravo Geoffroy d'avoir intégré si vite ces 2 tableaux.
Précision sujet représenté: La scène se déroule pendant la semaine sainte à la Trinité des pèlerins à Rome (annotation indiquée au Salon de Paris de 1827) ou à la basilique St Jean de Latran à Rome (annotation indiquée sur le Registre des Inventaires p. 13 et fiche Mohler). Le Pape Léon II lave les pieds des pèlerins de St Jacques de Compostel, pendant la semaine sainte en 1825, année du Jubilé. Derrière le pape et les évêques une foule de fidèles. Au dessus des pèlerins, un tableau accroché au mur représentant une scène biblique ; La tête du premier pèlerin, à gauche peinte par Delacroix est le portrait de Tiersonnier aut. du tableau (annotation indiquée sur le Registre des inventaires p. 13)
Enregistrer un commentaire